Le 4 septembre 1996, le premier ministre Alain Juppé avait déclaré d'après L'Express: « Il faut parfois mettre entre parenthèses les droits de l'homme pour protéger ceux de l'enfant » . Dans un article du 18 octobre 2006, Isabelle Debergue souligne que la même source faisait déjà état d'une déclaration de la future experte de l'affaire d'Outreau, Marie Christine Gryson, affirmant en tant que "psychologue, responsable d’une structure d’accueil aux victimes" à Hazebrouck (Nord) : "nous disposons d’une méthodologie fiable pour déterminer si un enfant dit la vérité".
Un article du 2 octobre 2006 publié par Agoravox rappelle également que le 14 mai 1997, dans une note intitulée "Pédophilie : un autre instituteur mis en examen", le quotidien l’Humanité faisait état d'une déclaration du ministre de l’Education nationale, François Bayrou, insistant sur la nécessité de "saisir la justice" en cas de soupçons envers un enseignant : "Si dans l’enquête quelqu’un est soupçonné, on suspend sa présence auprès des élèves. Et si quelqu’un est condamné, il est radié". L'article d'Agoravox relève aussi que, d'après le site de la famille de Bernard Hanse, le suicide de cet enseignant avait eu lieu le 10 juin 1997 pendant la soirée et que, d'après une information du journal Le Monde datée du 13 juin, Ségolène Royal déclarait avoir effectué le 10 juin un "tour par téléphone des inspections académiques" afin d’entreprendre un recensement des cas de pédophilie signalés à la justice.
Tradotto, in parole semplici, in Francia sono stati proposti due sintetici punti fermi:
- « E' necessario a volte mettere tra parentesi i diritti dell'uomo per proteggere quelli del bambino»
- "Se durante l'inchiesta qualcuno è sospettato, si sospende la sua presenza al fianco degli alunni."
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