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martedì 3 luglio 2007
Le blog d'Automates Intelligents
Sur le libre arbitre du Moi conscient
par Jean-Paul Baquiast
Cet article est le développement du passage consacré à ce sujet dans notre recension du dernier livre de Gerald Edelman, Second Nature (dans ce blog)
Gerald Edelman, comme la plupart des neuroscientifiques matérialistes, distingue deux grands types de conscience, la conscience primaire et la conscience supérieure. Discutons ici de l’une et de l’autre.
La conscience primaire
La conscience primaire serait présente chez tous les animaux, au moins au sein des espèces disposant d’un système nerveux central capable d’intégrer un nombre suffisant de signaux internes ou externes provenant des capteurs sensoriels et traitées par les modules correspondant du cerveau. Le produit de cette intégration, émergeant au niveau du cerveau associatif (noyau dynamique), commande en retour un certain nombre de systèmes neuro-moteurs effecteurs lesquels déterminent à tout instant le comportement global de l’animal. Ainsi celui-ci peut-il bénéficier d’un maximum d’informations pertinentes sur le monde et sur lui-même, lui évitant de répondre au coup par coup à des messages résultant de son interaction avec son environnement, messages pouvant être contradictoires ou insuffisamment informés. Il s’agit, dit-on, d’un avantage sélectif important au regard de ce que peuvent être les réactions d’organismes ne disposant pas de cette fonction. Mais cet avantage n’est que la contrepartie de la complexité atteinte par les animaux dotés d’un système nerveux central. L’expérience montre que les animaux plus simples, n’en disposant pas, peuvent aussi bien sinon mieux s’adapter aux contraintes de l’évolution.
suite sur : http://automatesintelligent.blog.lemonde.fr/2007/06/05/sur-le-libre-arbitre-du-moi-conscient/
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